Sophie Bassouls | Photographe | Thèmes | Paris-Istanbul/Paris

    Sophie Bassouls | Photographe | Paris-Istanbul/Paris

    Paris-Istanbul/Paris

    Une photographe française découvre Istanbul en 2005. Elle y retourne chaque année depuis et prend des photos au cours de ses promenades dans la ville et sur le Bosphore. La ville l'émerveille et les impressions qu'elle en garde se mêlent dans son imaginaire.
    Elle interprète la ville à sa façon avec une poésie qui porte sur un tout autre registre que celui de la simple photo, de la chose vue et rendue. Il y a du rêve, sans doute un peu d'espoir, une grande tendresse, du regret et beaucoup d'égards pour ce qui a été et ce qui reste à deviner. Elle travaille sur une série d'interprétations de la ville, de son flottement, de son ouverture sur le monde physique, de sa misère comme de sa grâce, de sa violence d'aujourd'hui, des traces de raffinement et de culture orientale.
    Ses montages d'images lui donnent alors l'idée de revisiter Paris, sa ville, de la même façon et de superposer des photos, comme des traces de souvenirs en strates, avec des fulgurances, des impressions qui cherchent à restituer toute la lumière et l'esprit des lieux.
    Au final, deux séries de 25 photographies en couleurs ( au total 50 ) tirages numériques barytés A3+ (338mm x 532mm).

    "Comme vous le savez sûrement, ce travail est de loin celui qui m'a le plus estomaqué parmi l'ensemble de vos derniers travaux. Il y a de la poésie qui dépasse et emmène dans un tout autre registre le simple fait de la photo, de la chose vue et rendue. Il y a du rêve qui n'appartient qu'à vous, un peu de Desiderio (Monsù Desiderio, alias François de Nomé & Didier Barra) fait femme, moderne et tellement inattendu. Du rêve, sans doute peu d'espoir, mais une tendresse énorme, du regret et beaucoup d'égard pour ce qui a été et ce qui reste à deviner plus qu'à voir. Vous interprétez la ville et son flottement, son ouverture sur le monde physique et le fait que sans doute, elle a depuis longtemps laissé passer le coche de la grâce, de l'érudition, du raffinement, de l'orientale culture. La perspective que ce travail là soit montré rapidement après sa réalisation, j'espère en grand et avec les égards que ce travail mérite, me fait extrêmement plaisir."

    Eudes Panel, 2009

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